Un drap blanc, deux trous à la place des yeux, rien de plus simple pour devenir un fantôme. Encore faut-il maîtriser la légèreté du geste et le glissé du pas !
Inspirée en partie des jeux d’enfants dans les cours de récréation, la chorégraphie de ce ballet invite le spectateur à imaginer les personnalités de chaque fantôme et les scènes muettes qui se passent entre eux. Et, pas d’inquiétude, ces ectoplasmes sont drôles et du genre à se trémousser sur des musiques empruntées à Maurice Ravel ou Offenbach plutôt qu’à hanter un manoir !
Reste à savoir jusqu’à quand vous croirez aux fantômes…